Une des choses que j'affectionne tout particulièrement dans mon métier, c'est l'analyse de l'architecture d'un système: déterminer, à partir des besoins, la meilleure architecture possible en terme de structure de données et de division des services. Bien souvent, et tout particulièrement dans les grandes organisations internationales, l'architecture d'un système est dictée par la politique. Et si, pour une fois, on faisait le contraire ?
Dans cette sécurité sociale utopique que je vais vous présenter, c'est la recherche de la simplicité maximale du système (pour des raisons évidentes de coûts) qui dicte la politique à adopter, et non l'inverse.